In this study, the effects of global warming on goat breeding were investigated. The research area is the Western Mediterranean Region in Turkey including Antalya, Isparta and Burdur provinces. In the region, goat breeding is done with traditional methods. The downward trend in precipitation in Antalya will continue and will remain well below the long-term average total precipitation values. Total rainfall will decrease to 871.6 mm in 2025. In addition, the increase in average temperatures will be +0.7 °C and the average temperature will be 19.6 °C in 2025. In this case, it is concluded that the drought will be more serious in the coastal areas of the Mediterranean Climate Region. In the province of Isparta, where the average annual precipitation amount is 570.2 mm, the annual rainfall amount will decrease to 535 mm in 2025. In addition, the average temperature in Isparta will be 13.5 oC in 2025. According to future projections, there will be a strong increase in average temperatures in Burdur and the increase in average temperatures will be +0.7 °C. The average temperature, which is currently 13.2 °C in Burdur, will be 13.9 °C in 2025. Burdur Province, whose monthly total rainfall amount is 428.1 mm, is expected to decrease below 400 mm in 2025 with a decrease of 35 mm. In this case, it turns out that the drought will be experienced in extreme condition in Burdur Province. Goat breeding is carried out mainly in enterprises in forest and mountain areas in Turkey. Global warming will bring much negativity to human beings, cause some plant and animal species to disappear or decrease but drought-resistant species will survive in future. Goat is very adaptive and it is resistant to drought and thirsty. Hair goat is also very resistant to drought and thirsty, and is fed with woody plant species that are resistant to drought and thirsty. In this respect, the effects of drought and global warming will be felt less on this hair goat production.

Dans cette étude, les effets du réchauffement climatique sur l'élevage caprin ont été étudiés. La zone de recherche est la région de la Méditerranée occidentale en Turquie, y compris les provinces d'Antalya, d'Isparta et de Burdur. Dans la région, l'élevage caprin se fait avec des méthodes traditionnelles. La tendance à la baisse des précipitations à Antalya se poursuivra et restera bien en deçà des valeurs moyennes des précipitations totales à long terme. Les précipitations totales diminueront à 871,6 mm en 2025. De plus, l'augmentation des températures moyennes sera de +0,7 °C et la température moyenne sera de 19,6 °C en 2025. Dans ce cas, il est conclu que la sécheresse sera plus grave. Dans les zones côtières de la région climatique méditerranéenne. Dans la province d'Isparta, où la quantité annuelle moyenne de précipitations est de 570,2 mm, la quantité annuelle de précipitations diminuera à 535 mm en 2025. De plus, la température moyenne à Isparta sera de 13,5 °C en 2025. Selon les projections futures, il y aura sera une forte augmentation des températures moyennes à Burdur et l'augmentation des temperatures moyennes sera de +0,7 °C. La température moyenne, qui est actuellement de 13,2 °C à Burdur, sera de 13,9 °C en 2025. La province de Burdur, dont la pluviométrie mensuelle totale est de 428,1 mm, devrait passer sous les 400 mm en 2025 avec une diminution de 35 mm. Dans ce cas, il s'avère que la sécheresse sera vécue dans des conditions extrêmes dans la province de Burdur. L'élevage de chèvres est principalement réalisé dans des entreprises situées dans des zones forestières et montagneuses en Turquie. Le réchauffement climatique apportera beaucoup de négativité aux êtres humains, entraînera la disparition ou la diminution de certaines espèces végétales et animales, mais les espèces résistantes à la sécheresse survivront à l'avenir. La chèvre est très adaptative et elle est résistante à la sécheresse et à la soif. La chèvre à poils est également très résistante à la sécheresse et à la soif, et se nourrit d'espèces végétales ligneuses résistantes à la sécheresse et à la soif. A cet égard, les effets de la sécheresse et du réchauffement climatique se feront moins ressentir sur cette production de poils de chèvre.